parfum

L’été avait une odeur de lait. La table de bois nu ouvrait sur des infinis de cimes

et de lumière. Jours poudrés de soleil entassés au fond de nuits qui s’ignorent. Je

les touche d’un doigt tressé d’ombres et de feuilles sèches. Ils remontent, épris de

clarté, vers ces bras d’enfant qui n’ont pas cessé d’être.